J’ai obtenu un Master en Droit / Politique de la Ville avant de travailler 18 ans en tant que Chargé de mission puis Directeur d’un Réseau départemental d’acteurs de l’Economie Sociale et solidaire. J’ai ensuite fait un EMS Sociologie et Stratégie du changement à Sciences Po, à la suite duquel j’ai pris un poste de DAF d’un réseau national dans le domaine de la santé.

Suite à l’Executive Mastère Spécialisé Direction Financière de l’IÉSEG, j’ai entrepris le développement de mon activité de DAF à temps partagé auprès de petites associations.

 J’ai décidé de me lancer dans un programme Executive pour consolider des compétences empiriques et en acquérir de nouvelles. Je ressentais le besoin de faire un « pas de côté » et de m’ouvrir le champ des possibles. Et j’ai choisi d’intégrer ce programme en particulier car le rythme et la diversité de contenu des cours me convenaient parfaitement.

Le cours de « Création d’une DF » m’a beaucoup plu, pour la manière dont il était enseigné et pour le fait qu’il était finalement un « concentré » de tous les autres cours.

Mon travail autour du mémoire « Faut-il une DAF dans les petites associations » m’a beaucoup marqué : via les professeurs / tutrice pour définir le plan et la problématique et forcément lors de la soutenance via les personnes (DAF, DG, partenaires) que j’ai pu contacter lors de mon travail d’enquête, via mes clients actuels car finalement, en développant mon activité de DAF à temps partagé, je mets en œuvre ce mémoire.

Ne souhaitant pas (au-delà du raisonnable) rogner sur ma vie personnelle, j’ai eu la chance de pouvoir bénéficier d’un soutien (et donc d’adaptations et de souplesses) de la part de mon employeur. Je considère que c’est indispensable pour suivre une telle formation. Enfin, la planification et l’anticipation, parfois la négociation, m’ont été nécessaires.

Ce diplôme m’a aidé et m’aide encore aujourd’hui pour prendre contact avec de nouveaux clients.

Avant de se lancer dans ce programme, je suggère de bien identifier le soutien à la fois du cercle familial (ou a minima ne pas être un frein) et surtout de l’employeur, avec ce dernier un « enjeu gagnant-gagnant » peut être jouable : apport de nouvelles compétences, voire même travail de mémoire (ou a minima un « devoir ») peut porter sur une problématique de votre employeur.

Publié le : 30 janvier 2023